Autour de lui, la forêt parle un million de langues qu’il a appris à écouter sans comprendre. Dans le sous-bois, un mètre cube de feuilles superposées suffit à tamiser ses projections mentales, à les éparpiller en granules, que les ichneumons ont tôt fait de broyer. Ne reste dans le tamis qu’un agglomérat de terreur et de joie tenace.